Kesha est le seul chat qui vit dans l’archipel norvégien du Svalbard

Le Spitzberg est un archipel étrange. Le bord nord, dur. En été, la température y est de +5 à +10 degrés Celsius. Et puis grâce au Gulf Stream, sinon il aurait fait encore plus froid. Un mot, Arctique. Il est connu comme l’un des rares endroits sur Terre où il est interdit d’enterrer des personnes. Mais peu de gens savent qu’il y a aussi une interdiction sur les chats.

Cette loi a été adoptée dans les années 90, on pense que les chats constitueraient une menace pour la santé humaine, porteurs de la rage et de diverses infections. Mais il y a toujours une exception à chaque règle. Dans tout ce territoire, il y a encore un chat nommé Kesha.

L’animal n’est pas domestique, il vit dans la rue, les gens le nourrissent et peuvent jouer avec eux. Personne ne sait ni ne se souvient comment il est arrivé là. Mais de nombreux inventeurs composent déjà de nombreuses légendes sur l’apparition mystérieuse de la bête à queue sur l’archipel.

L’une des versions les plus véridiques est que Kesha a été illégalement amenée par un ouvrier russe, qui dans les documents l’a désigné comme un renard. Mais de nombreux Russes travaillent sur cette île, donc le nom du chat est de la même origine.

Du fait que l’animal est officiellement enregistré comme un renard, il n’a pas été expulsé et il vit ici.

Le climat norvégien est très froid, et quand il fait  froid insupportable dehors, une famille locale emmène toujours le chat chez elle.

Mais la bête à queue n’aime pas vraiment rester longtemps dans la maison, il préfère inspecter ses biens et se battre avec des renards et d’autres animaux. Après une telle confrontation, des cicatrices restent sur le visage de Kesha.

Les chats n’ont pas toujours été interdits au Svalbard. L’interdiction n’est apparue que dans les années 1990, lorsque les autorités norvégiennes ont décidé que les chats pouvaient être porteurs de la rage et de l’échinococcose, ainsi que d’autres infections causées par les renards et les rats, ce qui représente à son tour un grand danger pour la population.

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