– Prenez-le ! – Mon gendre a jeté une enveloppe d’argent par terre. – Je n’ai pas besoin de vos aumônes !
J’ai essayé de tout faire pour le mieux, pour ma fille et mon gendre. Je voulais les soutenir, aider cette jeune famille 😢 Mais au final, c’est moi qui ai été mise de côté. Mon gendre a déclaré qu’il n’y avait pas de place pour moi à leur table de fête et qu’il m’interdisait même de communiquer avec mes petits-enfants. Mais pourquoi m’ont-ils traité ainsi ?
Je raconte mon histoire difficile ci-dessous 👇👇
Quand ma fille a rencontré son futur mari, ils étaient tous deux pleins de rêves et d’espoirs. Tout semblait indiquer qu’ils pourraient avoir un avenir parfait.
Mais, malheureusement, la réalité s’est révélée bien plus compliquée. Ils ont dû affronter des difficultés qui semblaient parfois insurmontables. Ils n’avaient pas de logement à eux, et leur appartement loué ne semblait être qu’un abri temporaire.
Ma fille est partie en congé maternité, et le seul revenu provenait de mon gendre. Il devait souvent travailler des heures supplémentaires.
Je voyais chaque jour sa fatigue, qu’il cachait à ma fille pour ne pas l’inquiéter. Leur courage face à ces défis m’a touchée, et j’ai essayé de les soutenir du mieux que je pouvais.
Les petites choses que j’apportais – des courses, des vêtements chauds pour ma petite-fille – étaient ma façon d’exprimer mon amour et mes soins.
Quand ma première petite-fille est née, j’ai décidé de faire encore plus. Un nouveau kit pour bébé, une poussette, un berceau – tout ce qu’il fallait pour son confort.
Ensuite, j’ai laissé de l’argent sur la table, non pas par vanité, mais pour alléger leur situation et leur permettre d’économiser pour l’avenir.
Je m’attendais à de la gratitude, mais j’ai été confrontée à de la colère.
Le lendemain, mon gendre est venu chez moi, furieux.
– Prenez ça ! – Il a jeté l’enveloppe par terre. – Je n’ai pas besoin de votre charité !
– Que s’est-il passé ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
– Vous voulez m’humilier avec cet argent ? Montrer à quel point je suis incapable de subvenir aux besoins de ma famille ?
– Je voulais juste aider. C’était de bon cœur… pour l’enfant.
– Et maintenant ? Vous allez continuer à m’apporter de l’argent ? Ça vous fait plaisir de me rabaisser ? Ma femme ne vous parlera plus, et vous ne verrez plus notre enfant.
Je suis restée perplexe, ne sachant pas quoi répondre.
Peut-être qu’il ne pouvait pas accepter que quelqu’un veuille l’aider par amour, sans arrière-pensée.
Maintenant que ma fille est de nouveau enceinte, je ne sais pas comment agir.